J’ai organisé dernièrement un atelier d’écriture : l’écrit-vin. Il s’agissait d’allier deux univers où les mots sont importants, où le vocabulaire et les sens sont sollicités : écriture et œnologie. Et les
J’ai organisé dernièrement un atelier d’écriture : l’écrit-vin. Il s’agissait d’allier deux univers où les mots sont importants, où le vocabulaire et les sens sont sollicités : écriture et œnologie. Et les
Vous venez de terminer et de corriger votre œuvre, et la plupart du temps, tout auteur espère publier son roman : go ! On se lance ! Tout le monde le sait, le
Voici 3 livres d’aide à l’écriture (2), qui compléteront ceux que j’ai déjà chroniqués. Ce type d’ouvrages est légion dans la production éditoriale. Selon notre personnalité, et notre positionnement vis-à-vis de
Comment travaillent les auteurs ? Jean-Luc Marcastel a détaillé lors d’une publication sur Facebook sa manière de voir et de faire en tant qu’auteur. Son témoignage est important, intéressant et
Faire corriger son roman par un. e professionnel.le, est une question qui peut surgir à l’achèvement (que l’on croit !) de son ouvrage. Comme on l’a vu dans les deux précédents
Corriger son roman : ateliers d’écriture, cette fois, dans ce deuxième article, nous allons anticiper. En effet, il est préférable de prévenir que guérir. En cela, les ateliers d’écriture sont d’une
Achever une œuvre littéraire prend du temps, et à l’heure de corriger son roman on se rend compte qu’on est loin d’en avoir terminé avec notre texte, qu’il nous reste
On termine notre cycle de poésie, notamment la poésie au féminin, avec une variante intéressante, le slam, plus que poétique. Pourquoi ? Parce que la poésie emmène votre corps sur une
Suite à l’article sur mon adolescence poétique, je continue avec mon écriture poétique. Après tout, je ne me suis pas arrêtée à la puberté, et avec le recul je me
Mon adolescence poétique apparaît comme un titre audacieux, peut-être prétentieux, mais aussi mystérieux. Traiter de mon parcours est une manière d’encourager les jeunes vocations. Et en mars, on se penche